Si, mais nous ne faisons qu'une approximation avec nos montres. Approximation que nous pouvons quantifier mais il faut être précis car il y a une variation de fréquence de transition en fonction de la température.Def e-Duck a écrit :Tu veux dire qu'ici, dans le cas de cet échange forumique sur le temps qui passe, la seconde n'est pas simplement la durée de 9192631770 périodes de radiation correspondant à la transition entre les deux niveaux hyperfins de l'état fondamental de l'atome de césium 133 ?The Pater a écrit : Ici l'échelle de réference est la seconde mesurée avec des moyens simples (montre par exemple).
C'est dingue ce que les choses peuvent varier avec la température.
Ensuite il faut prendre en compte la parallaxe et la qualité de la graduation, nous pourrons alors en déduire la tolérance due à l'erreur de lecture de la montre.
Puis il nous faut prendre le temps de réponse visuelle, nerveuse du sujet appuyant sur le bouton, ainsi que le retard à la mise en rotation de l'aiguille qui dépend de l'état de remontage du ressort spiral, et des frottements interne (y compris le coût de la dernière révision : 250€ les "bip").
Le résultat hautement scientifique de l'étude approfondie montre que le temps déclaré est précis à 4596315885 périodes +/- 1000 près.
Je vois, je vois, tu te répètes un peu (concomitance et simultanéité).Bref (= durée incommensurable), j'y perds mes notions de concomitance, d'immédiateté et de simultanéité
Mais dès que tu auras pris un cachet de l'Université Parisienne de Science Appliquées...... on verra la notion de relativité et la compression du temps en prenant l'exemple d'un conducteur de Def 300 tdi démarrant à coté d'un TGV passant à 300,84 km/h à coté. Le conducteur mesurera t-il le même temps entre le démarrage et l'extinction de voyant pression d'huile qu'un observateur regardant par la fenêtre du train ?
A+